Bruxelles fait son cinéma
Editions 180°
Beveiligde betaling met bank of credit kaart of overschrijving (rekening BE92 0011 9229 7223)
De boeken worden bij je afgeleverd in een depot, bij je thuis of op kantoor.
Neem contact met ons op als je meer informatie wilt over onze producten of bestelmethoden.
La plupart des cinéastes belges ont choisi Bruxelles pour cadre de l’un ou l’autre de leurs films. Cela va du précurseur Alfred Machin (Saïda a enlevé Manneken-Pis), bien oublié aujourd’hui, à Alain Berliner (J’aurais voulu être un danseur), sans oublier Benoît Lamy (Home Sweet Home) et tant d’autres.
Mais sait-on que bien des réalisateurs français ont aussi trouvé des charmes à la capitale de l’Europe ? Sinon, pourquoi Chabrol (La Rupture, Le Sang des autres), Leconte ( M. Hire), Sautet (Garçon !), Resnais (Providence) ou Bertrand Blier (préparez vos mouchoirs) auraient-ils tourné tout ou partie de ces films chez nous ?
Et les Américains ? Eux aussi sont venus chez nous ! Blake Edwards opta pour le théâtre de la Monnaie comme cadre de Darling Lili et Fred Schepisi choisit un hôtel de maîtreprès de la Colonne du Congrès pour y diriger Meryl Streep dans ‘Plenty’.
Cette « mode » va croissant car, si on a vu toutes les rues de New York, de Londres ou de Paris, celles de Bruxelles restent encore à découvrir pour bon nombre de spectateurs et le mélange architectural de la Ville devient un atout non négligeable pour les réalisateurs. N’oublions pas les studios qui permettent des tournages professionnels et dont se servent de plus en plus de cinéastes tant pour des films (Le petit Nicolas ou Largo Winch II) que pour des téléfilms.
Il était temps de dresser un bilan de ce qui fut tourné à Bruxelles. Soixante films figurent dans Bruxelles fait son cinéma, selon un choix forcément subjectif mais qui tend à montrer la diversité des cadres offerts par la Ville et ses dix-neuf communes.